Des membres de la famille syrienne Nashar, à Thessalonique. Une pause avant de prendre un autobus vers la frontière avec la République de Macédoine.

Le chemin de fer relie la Grèce à la République de Macédoine. Les autorités grecques dirigent les migrants vers ce passage non officiel.

Ahmed de Damas : "J'irai en Allemagne et je ferai venir ma fiancée".

Les migrants doivent se réunir par groupes de cinquante pour pouvoir quitter le territoire grec.

Mohamed a quitté Raqqa, où sévit l'organisation de l'État Islamique. "Je ne voulais pas que mes enfants portent des armes", explique-t-il.

Épuisées par le voyage, des femmes se reposent à l'ombre d'un panneau entre deux lignes de chemin de fer.

Parfois, certains migrants sont séparés de leur famille et se perdent parmi d'autres groupes.

Les policiers grecs tentent de contenir un flot ininterrompu de voyageurs clandestins mais tolérés.

Deux migrants bloqués dans un parc à Thessalonique. "Nous n'avons pas les moyens de poursuivre le voyage", disent-ils.